électrochimie copie 2

Ce cours est une synthèse de plusieurs années d’enseignement en électrochimie et corrosion. C’est donc un parcours en enseignement de cours, travaux dirigés et travaux pratiques, depuis ma première année (1986) que j’ai assuré aux étudiants du système classique en Génie chimique d’abord, en chimie industrielle  et en Génie des Procédés Pharmaceutiques ensuite et enfin et  que j’assure encore aux étudiants en Licence et Master  Génie des Procédés et Environnement. Ce travail est donc destiné aux étudiants du premier et du deuxième cycle universitaire de cette spécialité. Il englobe l’essentiel du contenu du programme du cours en électrochimie destiné à cette catégorie d’étudiants et s’inspirant des ouvrages de références dans la matière et contenant quelques applications directes en relation avec le cours.

Il est organisé d’une manière progressive permettant à l’étudiant de commencer d’abord par les principes de bases des définitions que rencontrera ce dernier en cours d’électrochimie ensuite les chapitres essentiels sont abordés.

Dans la première partie, chapitre I, on donne les définitions et principes des solutions d’électrolytes qui seront utilisés tout au long du cours, c'est-à-dire dans les chapitres suivants.

Dans le chapitre deux on traite la conductibilité des électrolytes, à travers ce chapitre, on donne la classification des électrolytes, les forces d’électrolytes, les activités et les différentes lois permettant de déterminer ces paramètres.

Dans le troisième chapitre, une partie importante dans le domaine de l’électrochimie est présentée. Elle consiste en la thermodynamique électrochimique, dans cette partie, on présente les différents phénomènes aux électrodes, leurs classifications, en donnant les espèces des électrodes et des piles électrochimiques.

Enfin dans le quatrième chapitre, la cinétique électrochimique est présentée. Dans cette partie les lois de cinétique chimiques sont utilisées pour déterminer les vitesses des électrons en présence d’un champ électrique et ce par le tracé des courbes intensité-potentiel appelées aussi courbes de polarisation.